"Échiqueté d’azur et d’argent, au chevreuil d’or brochant."
« En 1595, un chef de bandes au service du roi de France Henri IV, Louis de Beauveau, baron de Tremblecourt, passe malheureusement par Breurey. Il détruit son château fort et les habitations qui l'entourent, jamais le château ne sera relevé de ses ruines » nous apprend le site de la mairie.
Il fait maintenant bon vivre au fond de la vallée de la Creusotte (qui va se jeter dans la Lanterne), près de 600 Bruerois résident en région Bourgogne-Franche-Comté depuis 2016, anciennement la Franche-Comté, dans la Haute-Saône, à Breurey-lès-Faverney.
Situation.
La construction de la nouvelle église de Breurey-lès-Faverney, en 1757, remplaça la chapelle St Laurent, qui deviendra presbytère puis maison particulière. Cet édifice recèle un beau mobilier, plusieurs œuvres d'art et des pierres tombales. Tradition oblige, elle possède un clocher comtois, emprunté à l’architecture florentine, plus connu sous « clocher à l’impériale ».
C’est en 1924 que Georges FARNIER, fondeur de Robécourt, créera et livrera Marie-Joséphine-Monique, pesant 1.760 kg, d’un diamètre de 1.450 mm et donnant le Do.
« À Dieu je dois mes premiers sons, aux habitants de la paroisse, je consacre mes seconds. Je souhaite ne vibrer que pour la Paix » peut-on lire sur sa robe. Elle sera bénite par le curé de Breurey, monsieur Roussey.
Marie-Joséphine-Monique, 1.760 kg par G. FARNIER
Robécourt ? C'est à 70 km au Nord-Nord-Ouest.